Samedi 28, nous pédalons sur le RaVel de l'Ourthe sous une t° polaire. Soudain un cri ... glaçant ... vient troubler la quiétude des promeneurs, rats musqués, pécheurs et autres bernaches du Canada.
Une chute? Non, juste un pied qui s'échappe de la pédale, projetant notre ami JC vers le sol. Heureusement, le cadre de son vélo s'interpose, le contact violent avec le carbone étant amorti par les ... parties ... les plus nobles de son anatomie. Mais à quel prix! Seuls les hommes (les vrais!) comprendront.
Ouf! Un examen sommaire sur le lieu du drame (la présence d'un véto à bord est toujours bien utile) ne révèle que des dommages superficiels. La remontée finale vers Beaufays a lieu dans la douleur et un silence religieux, les compères de JC compatissant au traumatisme subi par leur infortuné collègue. Notre boute-en-train à qui ils souhaitent bien entendu, comme le chantait Michel Polnareff, de retrouver bien vite un style correspondant à son état civil.
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